Je suis Auriana, une belle dominatrice brune de 24 ans. Sexy et élégante, doté d'un corps divinement sculpté, j’ai très vite pris conscience de mon pouvoir d’attractivité et de mon ascendant sur les hommes. Ainsi je pratique la domination depuis mon plus jeune âge. Dans un premier temps certainement spontanément sans vraiment m’en rendre compte. Ensuite j‘ai commencé à user de mes charmes en différentes circonstances. Puis est venu le moment où j’ai ponctuellement pris l’ascendant total sur un homme. Un moment de toute puissance et de plein pouvoir. Un sentiment de contrôle et de supériorité qui ne m’a plus quitté. J’ai alors compris que mon pouvoir ne se limitait pas à obtenir un simple service occasionnel. En un battement de cils j’en avais fait ma chose ; prêt à tout pour s’attirer mes faveurs. J’ai réitéré l’expérience avec différents hommes, en différentes circonstances, et en ai fait un challenge. Ils pouvaient être de tout ordre : « Ce soir je vais me faire payer un verre par ce barman, sans rien dire. Peut-être même que si je ne me lasse pas avant la fermeture, je vais le faire supplier à genoux de rentrer avec moi (et bien sûr lui refuser) ». « Je vais me laisser draguer et retourner la conversation en 5 phrases ». « Je vais cibler un homme charismatique, visiblement sûr de lui. Ce soir il suppliera de me lécher les pieds ». J’ai alors acheté mes premiers accessoires, au gré de mes envies du moment. J’ai essayé beaucoup de choses afin de trouver ce qui me procurait le plus de plaisir, et surtout ce qui me permettait de prendre le plus l’ascendant, donc me sentir encore plus puissante. Un accessoire s’impose sans discussion : la cage de chasteté. C’est le must de la dominatrice. Retirer à un homme la possibilité de bander est incroyable. Nous devenons alors son obsession. Il est prêt à tout pour s’attirer nos faveurs. En lui faisant porter quelques temps, l’incapacité d’éjaculer va le rendre très docile et attentionné. Nous pouvons faire sauter toutes ses barrières, briser toutes ses résistances. C’était donc écrit : la chasteté allait devenir ma spécialité. Mais pour la pratiquer comme il se doit, il faut l’exercer au quotidien. Mettre un sujet en cage pour une journée ou 2 ne permet pas de développer le process. J’ai alors continué de développer ma fibre dominatrice, en exerçant la chasteté lorsque j’en avait l’occasion. Je ne manquais pas de vivre ma vie quotidienne à côté de cela (études, travail, amis, sorties etc…). J’ai dans l’intervalle eu un compagnon auquel je n'ai jamais parlé de mes penchants. C’était mon jardin secret. Il m’arrivait de jouer avec à l’occasion (comme tout le monde peut le faire). Nous nous sommes séparés après quelques années. Je me suis alors inscrite sur une application de rencontre. J’ai fais la connaissance un charmant garçon. Nous nous sommes rencontrés une fois, deux fois… Puis nous sommes mis en couple. Il est très sûr de lui et dominant dans sa vie quotidienne. Le challenge était très intéressant. J’ai tout de suite eu envie de le soumettre. Je l’imaginais en laisse, cage de chasteté sur le sexe. Nous nous sommes installés ensemble 1 an plus tard. Je ne lui avais encore rien dit de mes penchants. J’ai alors commencé à le mettre en position d’infériorité en le chevauchant au lit. Ensuite j’ai joué avec lui, parfois en l’attachant lors de nos rapports sexuels, parfois en lui bandant les yeux. Je le chevauchais alors en lui murmurant à l’oreille des phrases comme « Tu aimes ça être dominé ». C’était le début d’un long travail. Il fallait alors identifier les moments où il était le plus réceptif pour le pousser un peu plus loin dans la soumission. J’ai alors poussé un peu plus la chose, toujours sous forme de jeux au lit, en lui faisant par exemple une branlette, mais en l’interdisant de venir sans ma permission. Lorsqu’il approchait du point de non-retour je cessais toute stimulation et venais me faire lécher en mode queening. Par la suite je commençais par le chauffer plus tôt dans la journée par messages, et lui indiquait de m’attendre nu allongé sur le lit quand je rentrais. Durant ces minutes attendre, il avait le temps de s’exciter en imaginant ce qui l’attendait, mais aussi de repenser à ses dernières expériences attaché à ma merci. La soumission s’encre alors lentement mais sûrement. J’ai continué en lui assénant de petites claques lorsque j’en avais l’occasion. Il s’est passé 4 mois depuis le début de mon travail sur lui. Un jour en le teasant longuement, je lui ai murmuré « tu aimes ça nos petits jeux hein ? », ce à quoi il a (évidemment 😏) répondu « oui ». Je lui ai alors demandé s’il voulait que l’on aille plus loin. Il a également dit oui. J’ai alors fait rentrer la cage de chasteté dans notre couple. Je lui ai proposé de la porter d’abord une heure en guise de préliminaire. Ensuite un après-midi, puis une journée complète. Je trouvais des sous-vêtements plus sexy les uns que les autres pour le rendre fou de désir lorsqu’il la portait. Un jour nous sommes passés au port de cage pendant un week-end complet. Puis pendant nos vacances suivantes 4 jours. C’est là que la cage commence à avoir un réel effet. Il était totalement docile et attentionné. Je commençais à en faire un vrai petit soumis. Je l’ai alors attaché au lit, cheville set poignets, lui ai retiré sa cage et ai commencé à le caresser, le masturber. Puis je me suis arrêtée. Je lui ai dit qu’il allait retourner en cage sans éjaculer. Il m’a supplié de reprendre, ne voulait pas retourner en cage. Il commençait à se fâcher et à se débattre brusquement. Je me suis alors assise sur son torse, afin qu’il cesse de gigoter. Bien qu’agité, la vision de mes fesses ainsi l’excitait grandement. Il suppliait de ne pas le remettre en cage et le laisser éjaculer. J’ai alors replacé la cage et l’ai verrouillée. Il me regardait avec les yeux du désespoir. Son regard implorait. Moi je le regardé puissante, intransigeante. Je suis partie me faire un thé et l’ai laissé se calmer et réfléchir, là, nu et attaché.​ Je suis remontée 20 minutes plus tard, une fois la sève et l’adrénaline redescendue. Je lui ai demandé comment est-ce qu’il se sentait et l’ai caressé au visage. Je l’ai détaché et lui ai tendu la main. Il s’est assis au bord du lit tête baissée, il regardait mes jambes. Il est alors tombé à genoux et m’a enlacé les jambes. Il a relevé les yeux vers les miens et s’est contenté d’un « Je t’aime ». Je lui ai alors dit que c’était sa nouvelle condition désormais. Je l’ai laissé en cage quelques jours supplémentaires afin qu’il comprenne bien. Nous avons ensuite alterné des périodes avec et sans. Même lorsqu’il ne le portait pas, je me réservais le droit de lui refuser l’orgasme, et de lui donner quelques ordres. J’ai établi une liste de punitions s’il me désobéissait. A ce moment là cela voulait principalement dire s’il se touchait en mon absence lorsqu’il ne portait pas la cage par exemple. J’ai ensuite profité du mois d’octobre (2024) pour lui faire faire Locktober. Cet évènement représentant un challenge intéressant pour moi comme pour lui. Il lui donnait un objectif personnel en plus des miens. J’ai alors préparé un calendrier avec une action par jour (facesitting / tease and denial / vénération / position imposée etc…). C’est d’ailleurs depuis ce mois d’octobre que je vous fais suivre une partie de notre quotidien sur Onlyfans : onlyfans.com/altesse_auriana  A la fin de ce mois, la liste de punitions était bien plus élaborée, et les motifs plus diverses et variés (tâche ménagère non réalisée, oublie d’un rituel ou d’un protocole etc…). Il était totalement soumis. Je lui ai alors laissé jusqu’en décembre pour me proposer le cadre d’un contrat de soumission. Je lui ai fait retravaillé 2 fois, l’ai révisé et mis en bonne et due forme, puis je lui ai fait lire à voix haute à genoux et fait signé. Depuis décembre 2024 il est donc officiellement mon soumis en plus d’être mon compagnon. Certaines dominas ne comprennent pas celles qui ont des relations avec leur soumis (bien que dans mon cas cette formulation est inexacte : j’ai asservi mon compagnon). Elles veulent des mâles alpha pour les combler. Pour moi le mal alpha ça n’existe simplement pas. La seule alpha, c’est moi !